ROUGE, acrylique suer bâche, 2019
lundi 16 décembre 2019
ROJO
ROJO, acrylique sur bâche, 2019
Donacion al Museo de la solidarisa, Santiago de Chile.
Esa obra la produce la semana pasada con indignacion contra las violencias policistas o del exercito que veo en la pantalla de television. Reactivan mi memoria del tiempo fascista de Pinochet, de la represion del pueblo chileno. Parece que hay en Chile una tradicion terrible. Es la primera ves que pinto manos exclusivamente rojas como las huellas de sangre de las manos torturadas, mutiladas. Es un rojo de sangre. Como un sudario de sangre. Las manos llaman ajuda, intentan de parar la violencia, caen, sin capacidad de resistir, abandonadas, muertas.
No es lamentablemente exclusivo a Chile. Por eso pinte 2 mas obras parecidas que se llaman Rouge, y Rot (aleman).
dimanche 15 décembre 2019
mercredi 4 décembre 2019
écriture et peinture
Pour moi,
il n'ya pas de grande différence
entre l'artisanat de l'écriture et celui de l'art.
Tous deux commencent par un espace blanc, comme celui de la neige
qui m'entoure dans ma forêt laurentienne.
mardi 3 décembre 2019
ART ET COMMUNICATION MARGINALE 2, avec le GROUPE ÉCART à la HEAD de Genève
Anecdotes sans inventaire Archives Ecart, 1969 - 2019 à LiveInYourHead
Tuesday 19 November 2019 to Saturday 14 December 2019
Exposition 20.11 au 14.12.2019
Vernissage 19.11 à 18h30
Vernissage 19.11 à 18h30
Une proposition d’Elisabeth Jobin et de Yann Chateigné avec la collaboration de Juliette Roduit et T M David Mamie et Nicola Todeschini
Avec des contributions de John Armleder, Patrick Lucchini, Claude Rychner, Nicole Gravier, Endre Tót, la Bibliothèque d’art et d’archéologie, Ecart Publications, Hervé Fischer, Ecart Performance Group & Guests
L'exposition propose un inventaire des projets imaginés, supposés, engagés mais non encore réalisés, ou abandonnés. L'idée est de faire découvrir les Archives Ecart. À travers ses ensembles et ses figures principales, mais à la lumière d'une des particularités de cette archive, qui est de documenter autant des projets qui ont existé, que nombre de propositions restées en attente. Au final, l'exposition propose d'entrer dans une sorte de réalité de parallèle, d'histoire entre réalité et fiction. Elle serait structurée en trois parties, qui incluraient un "focus" sur Endre Tot, une "section" performances, et une série "d'histoires" documentant des projets de publications, d'éditions, d'expositions, des œuvres, des objets inclassables.
Le 19 novembre 1969, a lieu à Genève le Ecart Happening Festival, événement fondateur des activités d’Ecart. À la fois collectif, galerie autogérée, maison d’édition d’artistes, librairie et salon de thé, Ecart était un artist-run spacecofondé par John M Armleder, Patrick Lucchini et Claude Rychner. Tout au long des années 1970, le groupe s’attache à faire converger et à exposer un large panel de pratiques artistiques expérimentales en lien avec la mouvance Fluxus.
Les Archives Ecart témoignent de formes d’expression évoluant à l’écart des circuits commerciaux, s’employant à la démystification de l’œuvre d’art et de son auteur. Elles réunissent, entre autres, des imprimés et des multiples, du Mail art, des correspondances d’artistes et des photographies documentaires, créés ou collectionnés par les artistes en charge du lieu. Cinquante ans plus tard, il s’agit non seulement de raconter cet épisode de l’histoire de l’art expérimental des années 1970, d’y traquer ce qui y réside de potentiel, mais aussi de le transposer dans des démarches contemporaines.
Cette exposition retient ainsi des Archives Ecart ce qu’elles ont d’ouvert : ses projets non terminés, ses micro-récits hermétiques, ses amitiés, ses bons comptes et ses distractions, ses anecdotes et les possibilités de réactivations que nous offre aujourd’hui la montagne de documents trouvés en vrac dans le fonds. Ancré dans les pratiques et les gestes propres au groupe – éditer, performer, exposer –, ce projet propose d’activer les histoires restées latentes dans les traces matérielles qui nous ont été laissées par Ecart, comme autant de tentatives d’interprétation de ces archives et de ces messages qui nous seraient transmis depuis l’autre rive du temps.
L’exposition fait la part belle au plus ambitieux des projets éditoriaux d’Ecart, imaginé par le groupe avec Hervé Fischer, Art et communication marginale. Tampons d’artistes, vol. II. Les exemplaires de l’ouvrage, laissés inachevés à la fin des années 1970, avaient été perdus. Retrouvés récemment au terme d’une longue enquête, ils sont reliés pour l’occasion et seront enfin dévoilés. Ressurgissent aussi, au prisme d’une étude micro-historique des projets du groupe Ecart, les parcours parallèles d’artistes qui leur étaient proches, figures passionnantes mais restées jusqu’à aujourd’hui« mineures » en regard du canon de l’histoire de l’art : les photographies de Nicole Gravier ou les lettres d’Entre Tót trouvent dans l’exposition un nouvel espace d’expression.
Les archives Ecart sont actuellement déposées à la HEAD – Genève. Leur inventaire et leur étude ont été engagés et menés conjointement, par la HEAD – Genève et le MAMCO, depuis 2017 dans le cadre du projet de recherche « Ecart, 1969-1982. Une archive collective », réalisé avec le soutien de la HES-SO.
20 novembre 2019 | Info Media | 1969 - 2019 La HEAD – Genève célèbre les 50 ans d'Ecart
Les Archives Ecart témoignent de formes d’expression évoluant à l’écart des circuits commerciaux, s’employant à la démystification de l’œuvre d’art et de son auteur. Elles réunissent, entre autres, des imprimés et des multiples, du Mail art, des correspondances d’artistes et des photographies documentaires, créés ou collectionnés par les artistes en charge du lieu. Cinquante ans plus tard, il s’agit non seulement de raconter cet épisode de l’histoire de l’art expérimental des années 1970, d’y traquer ce qui y réside de potentiel, mais aussi de le transposer dans des démarches contemporaines.
Cette exposition retient ainsi des Archives Ecart ce qu’elles ont d’ouvert : ses projets non terminés, ses micro-récits hermétiques, ses amitiés, ses bons comptes et ses distractions, ses anecdotes et les possibilités de réactivations que nous offre aujourd’hui la montagne de documents trouvés en vrac dans le fonds. Ancré dans les pratiques et les gestes propres au groupe – éditer, performer, exposer –, ce projet propose d’activer les histoires restées latentes dans les traces matérielles qui nous ont été laissées par Ecart, comme autant de tentatives d’interprétation de ces archives et de ces messages qui nous seraient transmis depuis l’autre rive du temps.
L’exposition fait la part belle au plus ambitieux des projets éditoriaux d’Ecart, imaginé par le groupe avec Hervé Fischer, Art et communication marginale. Tampons d’artistes, vol. II. Les exemplaires de l’ouvrage, laissés inachevés à la fin des années 1970, avaient été perdus. Retrouvés récemment au terme d’une longue enquête, ils sont reliés pour l’occasion et seront enfin dévoilés. Ressurgissent aussi, au prisme d’une étude micro-historique des projets du groupe Ecart, les parcours parallèles d’artistes qui leur étaient proches, figures passionnantes mais restées jusqu’à aujourd’hui« mineures » en regard du canon de l’histoire de l’art : les photographies de Nicole Gravier ou les lettres d’Entre Tót trouvent dans l’exposition un nouvel espace d’expression.
Les archives Ecart sont actuellement déposées à la HEAD – Genève. Leur inventaire et leur étude ont été engagés et menés conjointement, par la HEAD – Genève et le MAMCO, depuis 2017 dans le cadre du projet de recherche « Ecart, 1969-1982. Une archive collective », réalisé avec le soutien de la HES-SO.
20 novembre 2019 | Info Media | 1969 - 2019 La HEAD – Genève célèbre les 50 ans d'Ecart
mercredi 11 septembre 2019
Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago, Chile
Carlos Altamirano, Paula Honiorato, curatoria, Fernando Perez Oyarzun, director del MNBA y Hervé Fischer frente al Museo Nacional de Bellas Artes de Santiago de Chile
Hiperhumanismo en Buenos Aires, OEI
Ponencia sobre hiperhumanismo y industrias creativas en el marco de la OEI, Buenos Aires, 6 de septiembre 2019
Encuentro Fernando Davis, Hervé Fischer, Horacio Zabala +
En la UNA a la invitation de Fernando Davis en Buenos Aires el 5 de septembre 2019. La tercera persona es un investigador del archivo de Antonio Vigo. Espero tener su contacto.
Obra desaparecida Santiago
Una donacion de una obra de 1972 al Museo de la Solidaridad Salvador Allende de Santiago de Chile desaparecida en el tiempo de dictadura de Pinochet.
reemplazada por una nueva donacion: La violencia social, une obra de 2012.
Se publico un texto de Ricardo Fuentealba Fabio titulado: Re-enactment / Reactivar / LA HISTORIA / Reconstituir / Reconstruir
lundi 12 août 2019
La métaphore quantique
La sociologie évolue dans ses métaphores au fil des mutations des structures de nos sociétés, aujourd'hui de masses. Nous sommes passés de sociétés premières indivises à des sociétés fondées sur la structure conjugale, puis féodales, aristocratiques, bourgeoises, individualistes, communistes, de masse.
Aujourd'hui, c'est la métaphore quantique qui pourrait le mieux interpréter son état actuel.
Commençons par l'analyser avec le modèle de la théorie ondulatoire-corpusculaire de la lumière. Cette contradiction reconnue dans la compréhension de la lumière, longuement débattue, contre-intuitive par rapport à notre tradition aristotélicienne et que seule la mécanique quantique permettrait d'accepter, trouve aisément son application métaphorique dans l'analyse de la société actuelle, à la fois atomisée (individualiste, identitaire) et mondiale, gérée par des ondes que sont les courants d'opinions, les imaginaires collectifs, les croyances écologique, pacifiste, hyperhumaniste, les pressions économiques consuméristes auxquelles nous sommes chacun individuellement soumis et qui nous gèrent comme des bancs de poissons ou des nuages d'oiseaux.
Nous sommes tout à la fois, du moins dans les sociétés occidentales, des individus sourcilleux de défendre nos autonomies individuelles, nos différences (corpuscules) et intégrés dans les ondes puissantes des médias de masse. Nous sommes à la fois dans les médias sociaux émetteurs et récepteurs d'informations. Bien sûr, en dehors de l'Occident, dans les sociétés collectivistes, notamment chinoise, il est clair que la théorie sociale est beaucoup plus ondulatoire que corpusculaire.
Reprenant les concepts de la mécanique quantique, nous dirons que nous sommes à la fois des particules autonomes et intégrées, enracinées et nomades, dans des états imbriqués avec les autres particules, en résonances mutuelles ou intrication, en superposition, vibration, délocalisation et localisation. Au niveau psychologique, pris dans nos différents rôles sociaux, homme, femme, père, mère, fille, fils, voisin, citoyen, professionnel, vacancier, consommateur, vendeur, acheteur, nous sommes enchevêtrés simultanément dans des postures différentes, voire contradictoires. Nous sommes à la fois de la matière et de l'énergie, stables et mouvants, pris dans un multivers aux paramètres discordants, en disruption et tout autant intégrateur.
Il en résulte que la métaphore quantique nous semble désormais décrire avec beaucoup plus de pertinence réaliste la dynamique, voie le vortex qui nous entraîne au-delà de nos instincts immédiats et sécuritaires de localisation ou d'enracinement et de nos zones stables de confort.
Nous sommes au-delà de la pensée en arabesque englobante que j'avais opposée à la linéarité causale. Les figures se sont brisées, les énergies sont devenues disruptives. Les intrications s'imposent au-delà de nos consciences individuelles et nous bousculent.
C'est donc désormais ce vocabulaire presque classique aujourd'hui de la mécanique quantique qui s'impose aux sciences humaines et sociales et remplace les anciennes catégories stables de la sociologie de Durkheim et Mauss.
Nous devrions réfléchir davantage à ce que serait une épistémologie quantique, non seulement en physique, dans notre rapport au monde, notre Weltanschaung, mais aussi dans notre rapport à la société et même à nous-mêmes, dans les consciences individuelles que nous avons chacun de nous-mêmes.
En d'autres termes, ceux de la mythanalyse, nous sommes conduits à admettre que la mécanique quantique, une fabulation nouvelle, mais assez réaliste pour être instituée dans le monde scientifique, dont les concepts relèvent originellement de la métaphysique et de la poésie, nous tient lieu de discours scientifique, épistémologique, avec une pertinence (efficacité) reconnue, sans que nous puissions intuitivement l'appréhender. L'atome même, cette conquête de la recherche scientifique encore matériel et donc rassurant, semble s'être évaporé aujourd'hui dans la fabulation physique nouvelle qui s'impose à nous.
L'art sociologique, qui interroge les rapports entre l'art et les idéologies et structures sociales, ne saurait ignorer cette évolution, se doit d'en explorer le nouvel état de la société et d'en questionner les représentations mythiques et les valeurs.
Hervé Fischer
dimanche 4 août 2019
dimanche 28 juillet 2019
ART? AVEZ-VOUS QUELQUE CHOSE '
Leo Reynolds
ART ? AVEZ-VOUS QUELQUE CHOSE À DÉCLARER?
Hervé Fischer et l'art sociologique
15 Jun 2017 - 11 Sep 2017
Centre Pompidou - Musée National d'Art Moderne
Paris, France
Le marché de l'art numérique
8. Hervé Fischer, né en 1947, est un théoricien et artiste numérique franco/canadien. Son ouvrage le plus célèbre s’intitule l’avenir de l’art.
Institut d’Etudes Supérieures des Arts (IESA) Paris
Mémoire de 1er cycle Expertise et commerce de l’art
Illustrations
Déposé en mai 2013 à Paris 1er par
Mr Frédéric CLAD
Directeur de Recherches :
Me Pierre CORNETTE DE SAINT CYR
Volume 2/3
dimanche 21 juillet 2019
samedi 6 juillet 2019
vendredi 5 juillet 2019
vendredi 28 juin 2019
jeudi 27 juin 2019
Toile à torchons de 1972
Mains, acrylique sur toile libre avec œillets de suspension, 1972, 3,04mx 2m. avec 2 tampons ronds en bas à gauche, l’un noir ART Qu’avez-vous à déclarer ?, l’autre rouge contre empreinte de main, signée au dos en bas à droite hervé fischer 72, « toile à torchons ».
mercredi 26 juin 2019
MARKET ART, une lecture de Claire Astier (2018)
Hervé Fischer, Market Art
Paris : François Bourin, 2016, 167p. ill. en noir et en coul. 16 x 13cm
ISBN : 9791025202036. _ 20,00 €
Référence électronique
Claire Astier, « Hervé Fischer, Market Art », Critique d’art [En ligne], Toutes les notes de lecture en ligne, mis en ligne le 09 mai 2018, consulté le 26 juin 2019. URL : http://journals.openedition.org/critiquedart/25694
mardi 25 juin 2019
Handy
En écho au Silex intelligent, voici HANDY (le nom qu'on donne au smart phone en Allemagne):
acrylique sur toile, 92x152cm, 2018
en résonance avec le concept de mobile art de Marie-Laure Desjardins, directrice de ArtsHebdoMedia;
lundi 3 juin 2019
Et pourquoi pas l'art post-planétaire, tant qu'à s'exciter!
La pensée post-planétaire
Tandis que la préhistoire hante de plus en plus notre culture actuelle,* on nous parle aussi beaucoup ces temps-ci de trans- et de posthumanisme, de post-histoire, de post-rationalisme, de post-vérité, de post-démocratie... et en effet la science-fiction nous accoutume à cet environnement cinématographique. Nous envoyons des sondes spatiales vers les autres planètes du système solaire, nous préparons très concrètement des expéditions sur Mars. Nous découvrons des exo-planètes. Alors pourquoi pas voir émerger aussi un art post-planétaire. Et pourquoi pas, tant qu'à faire, un art exo-planétaire.
Mais, ce qui nous fait encore le plus défaut, c'est manifestement de penser ce que deviendra la planète Terre lorsque nous serons tous devenus (au moins les riches nantis) des transhumains et des post humains. Quelle sera la relation que développeront ces anthropoïdes d'un nouveau genre avec la vieille nature naturelle, avec les animaux, les végétaux de notre planète, puis avec les minéraux des autres planètes sans vie.
Sur Terre, sans doute, à supposer que notre planète survive aux entreprises humaines, n'y-aura-t-il alors plus d'oiseaux, ni de fleurs pour poser des questions métaphysiques aux cyborgs. Le problème sera réglé. D'autant plus qu'il n'y aura plus de pensée humaine. Seulement l'intelligence artificielle, qui saura résoudre toutes ces questions hypothétiques et créer des décors agréables aux circuits électroniques et aux humains quantiques que nous serons devenus.
Quant aux humanoïdes qui auront migré sur Mars et autres planètes plus attirantes que la Terre, ils auront assurément fort à faire pour ne pas tomber en panne et n'auront de pensée post-planétaire que strictement technologique.
La Terre est peut-être une vallée de larmes obsolète, mais la pensée post-planétaire risque fort d'être tout simplement cauchemado-pragmatique. Bel avenir post-planétaire en perspective, qui mériterait une pensée philosophique aigüe. La "pensée post-planétaire": un beau titre de livre aux éditions Vrin, librairie philosophie, Paris, qui auront alors déménagé leur siège social de La place de la Sorbonne au Square postsolaire de la Silicon Valley.
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* Voir l'exposition "Préhistoire: une énigme moderne" au Centre Pompidou, mai-septembre 32019.
Le mobile art: un concept proposé par Marie-Laure Desjardins
Nous devons à Marie-Laure Desjardins, critique d'art, ancienne rédactrice en chef de la revue Cimaise, fondatrice d'ArtsHebdoMédia, d'avoir proposé le concept de mobile art (auquel elle a consacré sa thèse) et d'avoir organisé plusieurs expositions sur ce thème. La plus récente: Montluçon Mobile Art en avril-juin 2019.
J'ai eu le plaisir d'y participer: à preuve ces deux photos avec elle près de mon travail:
J'ai eu le plaisir d'y participer: à preuve ces deux photos avec elle près de mon travail:
Marie-Laure Desjardins et Hervé Fischer
samedi 18 mai 2019
Utopie Identity Office Hervé Fischer at Western Front, oct.76
Utopic Identity Office of Hervé Fischer at Western Front, Vancouver, BC,
Identity Utopic
Oct 22, 1976
· Herve Fischer, unidentified, “Identity Utopic”, 1976
Hervé Fischer and unidentifyed
Hervé Fischer and Kate Craig
Hervé Fischer and Kate Craig
Hervé Fischer and Michael Morris
Herve Fischer, Hank Bull, “Identity Utopic”, 1976
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